02.05.2025 — 21.06.2025 Cette délicieuse manière de clocher dans la vie
02.05.2025—21.06.2025
Cette delicieuse manière de clocher dans la vie
Trecy Afonso – Yasmina Lammler et l’Hopital Edouard Toulouse
Arnaud Arini et le Centre LGBT
Cathryn Boc et Sindiane
Damien Cattinari et l’Amicale du Nid et la Buissonière
Clara Buffey et le Centre social Frais Vallon
Aurélien David et le CCO Velten
Elsa Ledoux et le Secours Populaire
Dalila Mahdjoub – Lio Rof Sanchez et le CCO Velten
Gabrielle Meistretty et le Centre social Frais Vallon
Maya Mihindou et l’Addap13
Franck Pourcel et Cinéfabrique
Rybn.org et l’Addap13
et aussi
Mariam Benbakkar
François Billaud
Oussama Mouhoubi (merci à Ex Nihilo et la Fai-ar)
Paul-Emmanuel Odin
à l’occasion du Printemps de l’art contemporain
avec le soutien de Rouvrir le monde – été culturel 2024, Quartier d’été et Passeurs d’image.
visites du mercredi au samedi de 14h à 19h, participation libre
contact sur mediation@la-compagnie.org
Au programme du 2 mai
12h ouverture du Festival du Printemps de l’art contemporain avec les membres du réseau, les artistes, le public
13h30 nous irons voir la performance de Zoé Phillibert place de la Providence (une proposition de Rond-Point Project et la compagnie avec le soutien du P-A-C)
16h30 grand gouter partagé des enfants et adultes : début de l’accueil des différents groupes de participant/es (enfants, femmes, associations sociales)
19h vernissage festif (bar & atelier culinaire participatif !)
19h30 set live Un truc qui cloche, avec les jeunes de l’open-mic de l’Addap13
Faire atelier est le tourbillon où des voix inentendues se déploient en tout sens. Il était temps d’en faire, pour le Printemps de l’art contemporain, le cœur qui bat d’une exposition collective de productions réalisées lors d’ateliers d’artistes avec les publics et les associations.
Faire atelier c’est sortir de (chez) soi. Voici la porte, voici le grand air, voici l’arc en ciel de l’imagination.
Faire atelier c’est respecter la minorité qui est en chacun de nous, « cette délicieuse manière [que l’on a tous] de clocher dans la vie*».
Faire atelier, c’est brouiller les frontières sociales inséparables des pratiques et des savoirs.
Faire atelier c’est prendre les pratiques artistiques à bras-le-corps, à bras-les-entrailles, à bras-la-honte, pour célébrer l’énergie du vivant, pour « dessiner la cartographie des solidarités nouvelles au-delà des races, au-delà des classes sociales **», au-delà de la peur qui est « le camp de la catastrophe* ».
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